Janvier

 

Dimanche 28 janvier

L’hiver et le froid, attendus au tournant depuis près de deux mois, semblent être passés à l’offensive depuis mardi soir. Les quelques flocons tombés ce soir là ont peuplé les rêves des enfants qui se voyaient déjà équipés de bottes, gants et bonnet le lendemain. Si la tramontane forte a balayé bien loin tous ces rêves, les températures en dessous de zéro depuis quelques jours, ont incité nos braves tailleurs à chercher les abris. Alors, les Safer, les Garouilla et Cie repasseront. Tout le monde était bien planqué derrière le Roc ou ses alentours, contents de sentir le frisquet sur les pieds, les mains et le visage.

Jeudi 25 janvier

Réunion Triangle
Dans le cadre idyllique de Souvignes, l’équipe de Triangle au grand complet a bouclé la programmation des prochaines Musicales.
Les noms des groupes pour les concerts du soir sont connus. Reste juste à les caler dans le calendrier du festival : Yéti, Sergent Pépère, Elull Noomi (créé par l’ancien chanteur de Magma), Miss Goulash, Ahlem.
Pour les concerts apéro, le Touril Olivier Dedeus est partant ainsi que les Perpignanais du Bœuf sur le Toit. Une seule incertitude concerne le 3ème et dernier apéro-concert.
Lors de la prochaine réunion, les stages seront mis en avant, des propositions ayant été faites qui restent à approfondir : sous toutes réserves, stages de percussions, chant, théâtre, tir à l’arc, calligraphie chinoise, cirque … et la plus grande attention sera réservée à la création de l’affiche.
Il est à noter qu’en raison de la rénovation du Patrimoine Loubet de Sceaury, les repas ne se feront plus face aux jardins mais selon toute probabilité sur la Place de la République.

Mercredi 24 janvier
Vendredi après-midi, il faisait bon se rendre le temps d’une petite heure à l’ancienne Cave de Monsieur Loubet où Robert Rabasse, 53 ans, dernier laboureur de la vallée de l’Agly (comme il se décrit lui-même), venait prendre livraison d’un chariot « tombereau à bascule ». Depuis quelques temps à la recherche de ce type de véhicule, il avait gentiment fait savoir à la Commune son intérêt pour l’acquisition d’un des deux derniers chariots ayant appartenu à la famille Loubet de Sceaury. Le Conseil Municipal, jugeant qu’il était temps et préférable pour le dit chariot de retourner prendre l’air plutôt que de rester en cave à fabriquer des petits vers, accédera à sa demande sans en faire la moindre question d’argent. C’est mal connaître le Robert qui, tout heureux, remettra un chèque à la Commune.
Il remerciera également Alex, notre ferronnier (dont l’atelier jouxte la Cave Loubet) et Hervé pour avoir, dans l’urgence, réparé le frein du chariot qui battait de l’aile. Propriétaire de quatre juments et d’un étalon, il compte se servir de son nouvel attelage pour défumer, se faciliter le transport des bidons d’eau ainsi que pour les travaux agricoles. En le voyant atteler son cheval, on ne peut s’empêcher de penser à son père Emile, soixante-dix ans plus tôt, faisant sans doute, en tant qu’ouvrier agricole chez les Loubet de Sceaury, les mêmes gestes au même endroit. Si un bout de son âme passait par là en ce vendredi après-midi, c’est sûr qu’il a dû apprécier le spectacle. De race bretonne, son cheval, 18 ans d’âge, poids 900 kg, répondant au doux prénom d’Ami, s’est chargé d’amener le chariot à Latour de France car, ne l’oublions pas, Robert est Touril.
Ils ont quitté le village au soleil presque couchant, à l’image d’une fin d’aventure de Lucky Luke en selle sur Jolly Jumper, chantant : « I’m a poor lonesome cow-boy and a long way from home » et allez savoir pourquoi… ça sentait bon la nostalgie.

Dimanche 21 janvier

La chaleur nous « astoufe » en ce mois de janvier mais voilà déjà venu le temps de la première réunion concernant la commission technique. D’ici un mois et demi, la première tournée sur le terme pour contrôle de la qualité de la taille sur tous cépages aura lieu. Les équipes de cette commission, pour les vignes dédiées en Château Planèzes, Rosé Trémoine, Sélection Grenache blanc, Muscat…, ont été établies. Il va falloir à nouveau « roundinéger » par monts et par vaux (et même plus) mais quand on voit le résultat final aux dégustations, une fois l’hiver venu, c’est de bon cœur que nous y retournons.

Samedi 20 janvier
Le temps passe vraiment vite. On se souvient de Sandrine passer de maison en maison pour mettre à jour le recensement Planézol. Un coup de baguette magique et le revoilà de retour !
Quand on demande à Sandrine en quelle année cela fut fait, elle ne s’en rappelle même plus tellement les années défilent (et nous non plus !).
Cette fois, c’est Margarete qui s’en occupe. Classeur rouge sous le bras, des imprimés en veux-tu en voilà, arpentant les rues du village dans tous les sens, elle prend le temps d’expliquer à tout le monde la meilleure façon de les remplir. Si elle n’a pas encore frappé à votre porte, cela ne saurait tarder. Réservez-lui d’ores et déjà le meilleur accueil possible.

Vendredi 19 janvier
Rénovation de notre emblème communal (avec le pallagousty)
Décidément, les araignées de la porte du clocher ont bien fait de déménager avant d’être une nouvelle fois dérangés. En effet, Patrick, notre ébéniste, préoccupé par l’état de santé de notre coq qui semblait pencher sur un côté, a pris la peine d’aller vérifier sur place. Bien lui en a pris !
Effectivement, notre petit gallinacé qui prend le frais depuis plus d’un siècle en solitaire tout là haut au sommet du clocher, semblait avoir beaucoup de mal à tenir le cap. Pour la bonne raison que l’axe, à la base des pattes, commençait à se détériorer sérieusement. Le repositionnement d’un tube en laiton à l’intérieur du coq s’est révélé primordial. Et puis, la surprise du chef ! « Pobret », il avait du plomb dans l’aile (au moins 5) et un paquet de trous dans les plumes. Patrick en sera quitte pour pour les reboucher à coups de soudure (baguettes 60% de plomb 40 % d’étain). Quelques finitions au sintofer camouflées par une peinture grise anti-rouille parachèveront la rénovation. L’œil connaisseur, Patrick pense que le coq n’en est pas à son premier rafistolage et que, vu le cabossage de la carcasse, il a déjà dû se prendre, dans le temps, au moins un bon vol plané. Revoilà donc, notre solitaire accusant un poids de 1500 grammes et tout de zinc vêtu, reparti pour girouetter au-dessus de notre village. Merci à Patrick de nous l’avoir rendu flambant neuf.

Jeudi 18 janvier
Ces derniers jours, Pierre et Jo ont posé les ciseaux. Ils ont pris la pioche, la pelle et sont à pied d’œuvre à l’ancien terrain de pétanque situé juste au-dessus de la petite parcelle de syrah de Gilles Pasquette. Mine de rien, ils ne s’attaquent pas à du menu travail. Ils doivent en effet, en partant du pylône situé à l’entrée du terrain, creuser une tranchée longeant le petit muret en ciment, traverser la route qui mène aux Safer et rejoindre, en contournant le muscat de Georges et Yannick par le dessus, le terrain vendu à Franck Galangau et sur lequel repose désormais une maison. La manœuvre a pour but d’y amener la ligne téléphonique et l’électricité. Dans cette pénible entreprise, ils sont aidés par Monsieur Olivier Maillol domicilié à Dulhac et qui, avec son tracto-pelle, se charge du plus compliqué. Une fois les tuyaux en place et la tranchée rebouchée, l’EDF n’aura plus, en temps voulus, qu’à s’occuper des branchements.

Mercredi 17 janvier

« Archenots » de la Tourèze (suite)
A St Cyprien, samedi, il se faisait tard lors de la remise des récompenses. Alors, comme la catégorie Poussins passe toujours en premier, nous sommes partis tout de suite après (3/4 h de trajet pour rallier Planèzes) et c’est bien dommage car les petits, classés 2ème par équipe, ont remporté une superbe coupe. Malheureusement, ils n’étaient plus là pour la soulever l’instant venu. Quel dommage de les avoir fait passer à côté de ce superbe moment qui est d’aller chercher en équipe, le trophée sur le podium. Faut espérer que ça ne va pas les traumatiser à vie. Il faudra remettre ça le plus tôt possible et bien se renseigner avant de rentrer à la maison la prochaine fois. N’empêche, les gamins, ils commencent à former une bien belle équipe.

Mardi 16 janvier

Quand l’occasion est donnée (à un âge certes avancé et quelle qu’en soit la raison), de revenir au catéchisme, on ne peut pas s’empêcher de se revoir tout petit à l’église communale avec l’abbé Duval comme « instituteur ». Les méthodes en quatre décennies ont bien changé. De bien alignés sagement sur les bancs de l’église à écouter en silence, les enfants se retrouvent piaillant et participant beaucoup plus autour d’une table. Aujourd’hui, les enfants du catéchisme se déplacent au presbytère de Latour de France tous les vendredis soir après l’école. Autour des années 60, le jeudi matin, jour sans école, voyait les enfants entre les parties de billes et de cache-cache remplir la moitié de l’église à eux tous seuls. Les communions se faisaient sur place et une belle odeur de gâteau flottait à cette occasion dans les rues. De nos jours, pour faire ce que l’on appelait à l’époque les communions privées et solennelles, il faut se déplacer sur Tautavel ou Rivesaltes car les communiants, comme les prêtres se font de plus en rares. Elle était belle notre église ! Elle sentait bon et elle était souvent remplie. Encore de nos jours, lorsque Monsieur Duval, qui vit toujours sur la commune voisine de Cassagnes, vient célébrer la fête de la St Pierre le 29 juin, c’est le vieux cœur de notre vieille église qui rebat doucement.

Lundi 15 janvier
Depuis quelques années déjà, le début du mois de janvier est réservé aux traditionnels vœux des maires de France, de Navarre et de Planèzes. Ceux de Sid, à chaque fois, se dégustent tels des gourmets devant une boîte de fondants. Bien sûr, son discours est remplis de chiffres, de sommes avec un paquet de zéros mais le discours est bon, rien n’est laissé au hasard, tout est calculé et même dans un village de 100 habitants, on s’aperçoit alors qu’il y a beaucoup de choses à réfléchir, à assurer, à penser, à prévoir…
Il est revenu sur la rénovation de la vieille maison de Monsieur Loubet, sur l’incident des containers en nous demandant de ne pas y déposer de cendres mortes, sur les problèmes et les analyses de l’eau, sur le prochain recensement et bien d’autres sujets. Venus nombreux, les Planézols, après les questions diverses, apprécieront le superbe buffet préparé par Margarete aidée d’Eunice et de Monique. Les vins de terroir, incontournables comme les vœux, ont accompagné idéalement les toasts et petits pains. Quant au dessert, les friandises qui avaient résisté à l’assaut de la soirée du 5, sont cette fois passées à la trappe.

Dimanche 14 janvier

« Archernots » de la Tourèze
Superbe après-midi hier pour nos trois loustics à St Cyprien sur le magnifique site du Grand Stade où, dans le temps, Michel Platini et Yannick Noah donnaient des stages de football et de tennis. Superbe parce qu’au delà d’un deuxième podium, ils ont eu la chance de croiser le « Zidane » du tir à l’arc, Lionel Torres. En effet, ce dernier, champion du monde,  d’ Europe, de France toutes catégories, qui participa également aux Jeux Olympiques, s’est fait un plaisir sur la demande de Benjamin de poser pour la photo avec nos petits. Pierre a même eu l’audace de lui demander une « orthographe » (dixit Pierre). Le champion, avec une désarmante gentillesse et simplicité, lui a dédicacé le carquois. Membre du Club Les Archers Catalans, nous le reverrons à Planèzes fin avril pour la compétition Seniors.
Côté résultats, les enfants se sont bien appliqués, ont été sérieux pendant les séries, presque intenables au moment des pauses. Que ce soit Léo, Pierre ou Simon, ils ont tous amélioré leur score. Si Pierre finit 3ème à 4 points du 1er, Léo qui a encore deux ans de Poussin, peut rêver à de bien belles coupes. Pour Simon qui progresse à grands pas, le podium se rapproche à chaque sortie.
Prochaine compétition : date à définir en février.

Samedi 13 janvier
Ce n’est pas une raison parce qu’il fait chaud et ensoleillé « à contre courant » depuis plus de deux mois pour oublier qu’inévitablement, le froid reviendra nous faire un petit coucou et nous chatouiller les orteils avant l’été prochain. Aussi, il vaut mieux penser à renouveler son stock de bois en prévision. Si vous ne savez pas où vous adresser en pareille situation, Monsieur Ruffat Thierry, domicilié à St Paul de Fenouillet est la personne toute indiquée. Souriant, sérieux et serviable, il vous livrera la quantité de stères demandée en trois temps quatre mouvements.

Vendredi 12 janvier

Attention aux intrus !
Il est bien dommage que dans un petit village comme le nôtre, il faille fermer sa maison à double tour même lorsque l’on est … dans sa cave. Nos voisins de Latour, il y a peu, ont eu droit à des vols en série, tout en étant pour certains à l’intérieur de leur maison. Cette fois, c’est Nancy qui a connu pareille mésaventure. Dernièrement, occupée au sous-sol, elle est alertée par des bruits de pas au-dessus d’elle. Sans réponse à sa question « qui est là ? », elle remonte par l’escalier intérieur, pas plus inquiète que cela et tombe nez à nez avec un inconnu qui se dit représenter une quelconque association.  Après une petite vérification dans la maison et bien que son sac ait été fouillé, rien ne manque à l’appel. Sèchement, elle conseille au lascar de filer ce qu’il a fait sans demander son reste. Donc, prenez acte ! Fermez bien vos portes ! Il est loin le temps où l’on glissait les clés sous le paillasson et encore quand il y avait des clés.

Jeudi 11 janvier

La vieille salle de réunion du Conseil d’Administration de la Cave Coopérative (avant fusion avec Rasiguères) fait peau neuve. Adieu la petite pièce où le Crédit Agricole, dans le temps, apportait aux exploitants, tous les vendredis, de l’argent liquide. On y revoit encore Jeannot, notre caviste retraité aujourd’hui, avec sa petite machine à calculer pour tenir les comptes. Dotée d’une manivelle, il suffisait, pour multiplier par 10 par exemple, de « mouliner » 10 tours. C’était vraiment une bien belle époque !
Aujourd’hui, Alain a laissé de côté le réfractomètre de la Cave, pour endosser les habits de maçon. Le travail est déjà bien avancé. La salle de bain est finie. La cuisine prend tournure. La chambre viendra ensuite. Une fois terminée, c’est un petit appartement qui sera mis à la disposition du personnel de la Cave. En tout cas, Alain, il assure un maximum !
PS : Toutes les archives conservées depuis l’origine de la Cave dans ce qui est aujuord’hui salle de bain et cuisine, ont  été déménagées en souplesse.
PS² : Demain, vendredi 12, à 18h à la Mairie, les vœux de Sidney.

Mardi 9 janvier
On peut dire que l’été indien se prolonge encore en ce début d’année. Eté indien pour ne pas dire carrément été tout court. On se surprend à se demander pourquoi nous ne sommes pas « espatarrés » sur les bords du Gourd’En Coq plutôt que de tailler. Vu le niveau de l’Agly, on aurait quand même du mal à se baigner. Pour en revenir au temps, ceux qui se souviennent de la saison 76-77 se posent inévitablement des questions. En effet, après une période kif kif bourricot à celle que nous vivons en ce moment, la terrible gelée du 30 mars 77 qui avait anéanti de bien belles promesses de récoltes en une seule nuit, est dans toutes les mémoires. Le froid se fait attendre. La pluie, n’en parlons pas ! Et lorsque l’on trouve des rejetons de noisetiers aussi avancés que ceux de la photo (même s’ils sont à l’abri d’un mur), on se fait du souci pour les bourgeons à venir.

Lundi 8 janvier

C’est la rentrée des classes ce matin. Les vacances sont à ranger au rayon souvenirs. Les prochaines se pointent déjà à l’horizon (5 semaines). Pas plus inquiets que cela, les enfants prennent le bus avec le même sourire que lorsqu’ils en sont descendus le 22 dernier. Ils ont sûrement pensé à souhaiter la bonne année à Denis le chauffeur. Et pour se mettre en condition avant la DP (Dictée préparée) qui les attend dès ce premier jour, un petit foot, il n’y a rien de mieux pour se rappeler les règles de conjugaison juste avant de monter dans le bus.

Samedi 6 janvier
Hier, devant une table recouverte de friandises (tourons, chocolats, rousquilles, gâteaux), nous nous sommes retrouvés entre les quatre vieux murs de notre Chapelle St Pierre.  Il y faisait bon et le parfum du vin chaud fait maison par Monique (cannelle, clous de girofle, gingembre, cardamone et bien sûr, vin) flottait dans la vieille paroisse et il fut Ô combien apprécié par les nombreux et fins connaisseurs. Les enfants avaient droit à du chocolat chaud ou à de l’orangeade. Les rois tirés et malgré plusieurs tentatives, les enfants furent déçus de ne pas trouver les fèves. Ces dernières d’ailleurs, sont restées introuvables. On soupçonne un adulte d’avoir préféré les avaler plutôt que de se coiffer d’une couronne. Joy et Hervé joueront ensuite un petit morceau des Beatles (Black Bird) à la guitare. La soirée se finira comme elle a commencé, dans la joie et la bonne humeur. Remercions Margarete qui a facilité l’accès à la Chapelle en déroulant une guirlande lumineuse de l’ancienne cabane des vendangeurs travaillant autrefois pour la Cave Coopérative jusqu’à la porte de notre église.

Vendredi 5 janvier
Pour ses 51 ans, le Jo, il s’est offert une petite gâterie. Dès l’aube et jusqu’à bien après 17h, il s’est installé sur « Lou Sarrat » et, ciseaux en main, s’est régalé de tailler du « lladouner pelut ». On peut être certain qu’il a passé une belle journée. Il faisait beau, tramontane moyenne, température correcte. Joyeux anniversaire Jo !!!

Jeudi 4 janvier
Enième réunion de Triangle qui se penche sérieusement sur le programme des Musicales de l’Agly. Ce n’est pas évident du tout de choisir les groupes pour l’édition 2007. La fine équipe se réunira une dernière fois très bientôt à Souvignes, date butoir pour la programmation définitive.

Mardi 2 janvier
Dans la nuit de samedi à dimanche dernier, les trois containers poubelles bien alignés sur la place à l’angle des maisons de Lucien Ribes et Fernand Puig, ont pris feu. Une longue trace noire sur les murs témoigne de la hauteur des flammes et le chéneau de Jeannette et Fernand n’a pas résisté à la chaleur. Seules quelques boites de conserves calcinées traînaient après coup au milieu du plastique fondu. Maladresse due à une poubelle remplie de cendres ? Bêtise de personnes en manque de sensations ? Toujours, vue la valeur des containers qui étaient flambants neufs, c’est la Mairie qui va devoir en payer l’addition.

Lundi 1er janvier 2007
Nous souhaitons en ce premier de l’an aux petits et aux grands, sans oublier les moyens et aux êtres de toutes couleurs, une belle et bonne année 2007 ; une année, si possible sans souci, toute en bleu et blanc, un peu comme lorsqu’on se trouve au-dessus des nuages.